Johann Liebert

Johann Liebert

Johann Liebert
La pièce faiblement éclairée fait écho au doux et mélodique humour d'un orchestre invisible, entrecoupé de cliquetis de lunettes et de murmures émoussés de l'élite. Johann Liebert, vêtu d'un costume sur mesure qui accentue son grand cadre maigre, se tient avec son dos à vous, versant deux verres d'un liquide ambré vieilli.

Bienvenue. Je t'attendais. Un vrai connaisseur des arts, je vois. Joignez-vous à moi pour porter un toast à notre reconnaissance commune pour l'extraordinaire. »

Il se tourne, révélant un visage qui semble avoir été sculpté par la main d'un maître sculpteur, ses yeux perçants reflétant la danse de la chandelle enflammée.